Les dates à retenir :

- semaine du 21 mai : exposition à la Mairie des travaux d'Arts Plastiques de certains élèves de l'Elémentaire
- vendredi 1 juin à partir de 15h : carnaval-défilé-goûter fruité de la polyvalente
- samedi 2 et dimanche 3 juin : fête du quartier animations dans le square Paul Grimault,

veillée aux lampions samedi, RV à 21h devant le 83 rue de l'Amiral Mouchez,

vide-grenier dimanche

- samedi 30 juin au matin kermesse de la polyvalente

Prochain "Apéro des parents" le vendredi 11 mai à partir de 18h (dans le réfectoire).

VENDREDI 30 MARS à partir de 18h

sous les cerisiers en fleurs de la cour maternelle à côté du hall d'entrée

A Paris  pour la rentrée 2012, doivent être supprimés :

• 46 postes Rased au détriment des élèves les plus fragiles qui ne pourront plus bénéficier de l'aide des enseignants spécialisés pour aplanir leurs difficultés d'apprentissage, A Küss , une supression de maître E,

• 34 postes de titulaires-remplaçants, alors que les remplacements des enseignants absents ne sont déjà plus assurés, ce qui passe la moyenne d’enfants par classe à 34 au lieu d’être à 25 à Küss,  

• 18 postes d'intervenants en langues vivantes, alors que des enseignants pas encore habilités ont des difficultés à obtenir leur stage d’habilitation à enseigner une langue vivante,

• 40 fermetures de classes, alors qu’à Küss, nous avons besoin de la création d’un poste afin d’ouvrir une nouvelle classe sur la polyvalente puisque la population de notre quartier s’accroît.

Ces mesures dégradent les conditions d’apprentissage de nos enfants et les conditions d’enseignement. Les enfants les plus en difficulté vont être encore plus laissés sur le bord de la route !

Mobilisons-nous pour garantir l’avenir de tous les élèves !

 Paris le 15 février 2012 

COMMUNIQUE DE PRESSE FCPE Paris

Éducation / Carte scolaire / RASED 

Au nom d’une gestion purement comptable, l’Académie de Paris annonce des mesures de carte scolaire pour la rentrée 2012 qui ne sont pas acceptables : suppression de 46 postes d’enseignants RASED et 34 postes d’enseignants remplaçants et 40 fermetures de classe. 

Nous refusons que ces mesures soient appliquées. Aucune suppression de poste de RASED, aucune suppression de poste de remplaçant, aucune fermeture. 

Acteurs sur le terrain, nous sommes chaque jour témoins de graves difficultés dans les écoles de nos enfants, des enseignants non-remplacés, une absence de suivi et de soutien aux élèves en difficulté, des enseignements de langues non assurés, des classes surchargées. 

C’est pourquoi il n’est plus possible que s’applique dans nos écoles cette logique comptable qui ne prend en compte que des moyennes, application aveugle du dogme du « non remplacement d’un fonctionnaire sur deux ». 

Notre refus est global. Vous ne nous ferez plus cautionner que l’on déshabille Pierre pour habiller Paul et que les réunions de concertation se résument à entériner des restrictions croissantes de moyens et à accepter la répartition de la misère restante dans les établissements où vous espérez ainsi faire taire la contestation. Il faut cesser d’accepter les petits compromis locaux : l’état doit assumer ses devoirs et répondre aux besoins urgents de l’école de la république, gratuite et laïque, de l’école pour tous. 

Mesdames et messieurs les responsables académiques, 

Mesdames et messieurs les élu-e-s, 

Nous réclamons une politique éducative digne de ce nom et dont l’objectif est, en concertation avec l’ensemble de la communauté éducative, de répondre aux besoins du service publique d’éducation. 

L'Académie ne peut pas continuer d’ignorer les difficultés quotidiennes auxquelles les écoles sont confrontées 

Les arrangements qui ne feront qu'accroître les difficultés à la prochaine rentrée et sont proposés par l'Académie aux maires d’arrondissement ne sont pas acceptables. 

Qui gardera les enfants dont les enseignants absents ne seront pas remplacés. Qui expliquera aux citoyens que le budget a été voté par des députés qui ne pouvaient pas ignorer qu'une des conséquences serait que lorsqu’un enseignant est malade, il n’est pas remplacé ou alors par un adulte qui fera du mieux qu'il peut mais qui n'a pas été formé au métier d'enseignant ? 

Qui expliquera aux citoyens d'aujourd'hui et de demain que les élus de la nation ont supprimé les aides apportées aux plus démunis d'entre nous, les enfants en grandes difficulté scolaire ? 

C’est la mission fondamentale de l’école publique qui est mise à mal. C’est non seulement le présent des élèves mais l’avenir du pays qui est en jeu. 

RELATIONS PRESSE : Laure Aourir -  06 20 85 92 90 laure.aourir@fcpe75.org 

Communiqués en ligne sur : http://www.cpe75.org/cdpe/n_rpresse.htm